Après notre aventure automnale du nord au sud par les sentiers pédestres avec Quartz et Kayenne en 2012, la Chartreuse m’invite à nouveau. En vérité ce sont Nicolas et Antoine qui m’ont invitée. Traversée sud-nord, du col du Coq jusqu’au col de l’Alpette en ski de randonnée par les hauts plateaux. Une première pour moi qui chausse plus souvent les raquettes pour porter le snowboard... Deux journées ensoleillées à souhait après deux premières heures sous la brume matinale qui ensevelit Grenoble et ses tentacules urbains. Les garçons attendent les premières conversions pour me voir tomber... ils attendent toujours ! Les skis sont sommes toute trop grands pour moi et je rencontre de grandes difficultés à faire des virages potables dans la poudreuse. Je n’ai pas fait de ski depuis plus de dix ans. Les descentes sont une angoisse, mais montées et plats sont plus rapidement avalés qu’avec des raquettes. On passe la nuit dans le Habert de l’Aup du Seuil. La cabane doit plus souvent servir de dortoir aux brebis qu’aux randonneurs. Heureusement, la neige et la glace ont bouché tous les interstices pour nous abriter du vent. En enlevant les chaussures, on laisse chacun des lambeaux de chair sur les semelles, on a suffisamment d’ampoules pour nous passer de nos frontales ! Le lendemain sera une succession de montées et de descentes éprouvantes et nous rendons les armes après plusieurs erreurs de parcours. Nous devions nous rendre jusqu’au Granier, mais il nous demeurera inaccessible pour cette fois. Descente sur la Plagne où Nico use de ses charmes pour rejoindre la voiture en auto-stop. Magnifique aventure sur les dômes enneigés.
Après notre aventure automnale du nord au sud par les sentiers pédestres avec Quartz et Kayenne en 2012, la Chartreuse m’invite à nouveau. En vérité ce sont Nicolas et Antoine qui m’ont invitée. Traversée sud-nord, du col du Coq jusqu’au col de l’Alpette en ski de randonnée par les hauts plateaux. Une première pour moi qui chausse plus souvent les raquettes pour porter le snowboard... Deux journées ensoleillées à souhait après deux premières heures sous la brume matinale qui ensevelit Grenoble et ses tentacules urbains. Les garçons attendent les premières conversions pour me voir tomber... ils attendent toujours ! Les skis sont sommes toute trop grands pour moi et je rencontre de grandes difficultés à faire des virages potables dans la poudreuse. Je n’ai pas fait de ski depuis plus de dix ans. Les descentes sont une angoisse, mais montées et plats sont plus rapidement avalés qu’avec des raquettes. On passe la nuit dans le Habert de l’Aup du Seuil. La cabane doit plus souvent servir de dortoir aux brebis qu’aux randonneurs. Heureusement, la neige et la glace ont bouché tous les interstices pour nous abriter du vent. En enlevant les chaussures, on laisse chacun des lambeaux de chair sur les semelles, on a suffisamment d’ampoules pour nous passer de nos frontales ! Le lendemain sera une succession de montées et de descentes éprouvantes et nous rendons les armes après plusieurs erreurs de parcours. Nous devions nous rendre jusqu’au Granier, mais il nous demeurera inaccessible pour cette fois. Descente sur la Plagne où Nico use de ses charmes pour rejoindre la voiture en auto-stop. Magnifique aventure sur les dômes enneigés.
Commentaires
Enregistrer un commentaire